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Tom, Graphiste & motion designer

Tom

Graphiste & motion designer

Si tu devais

nous parler de toi…

img scaphandre

Si tu devais te présenter à un inconnu, que dirais-tu ?

Je commencerai par dire « bonjour » et « je m’appelle Tom » !
Je dirai certainement que je suis curieux : j’aime comprendre comment les choses fonctionnent. Je m’intéresse facilement à tout un tas de sujet, même si c’est ponctuel, au détour d’une conversation. J’aime découvrir de nouvelles choses, observer comment les gens réagissent… Je crois donc que je dirai simplement que je suis curieux !

Qu’est-ce qui t’anime au quotidien ? As-tu des passions ?

Je n’ai pas une passion dans laquelle je me lance à 150%.

Le vélo, c’est un truc qui me plaît. D’abord parce que c’est un moyen de transport, ensuite parce que ça me donne l’occasion de faire du sport (moi qui ne suis pas hyper sportif j’ai transformé le moyen de transport en pratique plus sportive !). Le fait de se mouvoir avec une énergie naturelle est quelque chose qui me plaît.

Plus récemment j’ai découvert la voile et là encore, le fait d’utiliser le vent, une ressource naturelle pour me déplacer me plaît ! Quand j’ai acheté mon appartement, j’ai tout refait de A à Z, j’ai tout cassé, il ne restait que les 4 murs. J’aime beaucoup cuisiner aussi, mais pour moi la cuisine et les travaux c’est pareil finalement : je manipule, je coupe, je travaille la matière et tout ça avec mes mains. J’aime le geste finalement !

« J’ai dû apprendre tout seul en faisant, défaisant, en découvrant des fonctionnalités, en allant éplucher des menus, en regardant des tutos… » 

Quel a été ton parcours avant de rejoindre Bathyscaphe ?

Peu scolaire, j’ai très vite su que je ne ferai pas de longues études post-bac et j’ai suivi une formation de communication graphique qui m’a appris les rudiments du métier. Durant cette période, j’ai eu la chance de faire deux stages très intéressants, où j’ai découvert la mise en page sur des sujets variés et techniques. Je crois que c’est à ce moment-là que j’ai réellement compris dans quoi je me lançais, et ça m’a suffisamment accroché pour que je me dise « mais oui, c’est ça que je veux faire ! ».

Une fois diplômé, j’ai souhaité me lancer rapidement dans la vie active, et j’ai trouvé un poste très rapidement ! N’ayant pas fait de grandes études, et n’ayant que l’expérience de mes stages, je m’attendais à faire un travail d’exécutant, mais on en attendait plus de moi. Il m’a fallu appréhender les logiciels Indesign, Illustrator et Photoshop, moi qui ne connaissais que le logiciel QuarkXpress (c’est vraiment un truc de vieux aujourd’hui, clin d’œil aux nouvelles générations qui ne voient même pas de quoi je parle !). J’ai dû apprendre tout seul en faisant, défaisant, en découvrant des fonctionnalités, en allant éplucher des menus, en regardant des tutos… je crois que ça a fonctionné : j’y suis resté 8 ans !

À l’issue de cette première expérience, j’ai décidé de tenter l’aventure en freelance. Je n’avais pas vraiment de réseau, mais j’ai réussi à avoir quelques missions, et la première année, ça ne s’est pas trop mal passé. Et puis j’ai commencé à réfléchir à de nouvelles façons de faire mon métier. Le motion design m’est vite apparu comme intéressant, alors je me suis lancé dans des tutos…

Puis il y a eu la COVID… j’ai donc décidé de retrouver un emploi en tant que salarié. Je ne me suis pas fermé de portes, je dirai même qu’au contraire, j’ai orienté mes recherches sur des offres très différentes de ce que je connaissais. C’était l’occasion pour moi de découvrir de nouvelles choses !

Si tu devais

nous parler de ton métier…

img outils

Tu es graphiste et motion designer à l’agence, qu’est-ce que ça veut dire ?

Ce qui me plaît avec cette double casquette, c’est la transversalité des choses. Tu connais le Taylorisme ? Et bien là, c’est l’anti-Taylorisme ! Plutôt que de me dire « je ne sais faire que ça, alors je ne fais que ça », j’ai un terrain de jeu assez large. À partir d’un même sujet, je peux être amené à travailler sur différents supports avec une même manière (print, web, vidéo, stand…). Je n’ai pas le sentiment d’être cloisonné, je travaille un même projet sous plein de formes différentes ce qui me permet d’avoir une vision très globale sur les différents sujets de l’agence.

 

« Je n’ai pas le sentiment d’être cloisonné, je travaille un même projet sous plein de formes différentes ce qui me permet d’avoir une vision très globale sur les différents sujets de l’agence. »

 

Quelles sont les qualités à avoir pour faire ton métier ?

Je pense qu’il est important d’être organisé : tant dans ses fichiers que dans ses idées créatives. Créatif, évidemment, pour pouvoir se réinventer pour chaque projet. Curieux de tout, et comprendre tous les métiers qui nous entourent, regarder ce qui se fait ailleurs. S’intéresser à la finalité de chaque projet pour en saisir les enjeux et objectifs.

C’est quoi une journée de Tom à l’agence ?

J’aime avoir une vision globale sur mon planning de la semaine. Anticiper mon activité me permet de mieux l’organiser.
Je m’attache à respecter les délais qui me sont imposés, et mes tâches sont variées : proposer un story-board pour un motion design, animer un motion design, récupérer une création pour la décliner, réaliser une mise en page… Autant de missions variées qui me permettent d’éviter la monotonie !

Quel est le sujet qui t’a le plus animé depuis ton arrivée ?

Le motion design, globalement et quel que soit le sujet. Plus j’en fais, et plus je suis heureux ! Je continue de me former, j’ai besoin d’en faire beaucoup pour évoluer techniquement et créativement afin de proposer toujours plus d’animations variées.
J’aime découvrir de nouveaux milieux et la communication institutionnelle, je ne connaissais pas du tout avant d’arriver à l’agence. Ce sont des problématiques auxquelles je n’avais jamais été confronté, donc finalement, quel que soit le sujet, je trouve ça intéressant !

Et si tu devais

nous parler de l’agence …

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Arrivé récemment, quelle a été ta première impression ?

J’ai été attiré par l’identité de l’agence et sa communication. Principalement parce que j’ai développé ces dernières années un réel intérêt pour la mer et les bateaux. J’ai pensé que Bathyscaphe travaillait avec des acteurs issus du milieu maritime. Il s’avère que pas du tout !
Mais c’est ce qui m’a attiré de prime abord je dois bien l’avouer. La deuxième chose qui m’a attiré, c’est le dimensionnement de l’agence et sa taille humaine, car je ne me vois pas du tout travailler dans une entreprise de plus d’une vingtaine de personnes. Enfin, le fait que l’agence soit dirigée par une femme et que l’équipe soit majoritairement féminine a fait pencher la balance ! Je préfère travailler avec des femmes, avec qui je m’entends mieux professionnellement.

Comment s’est passé ton recrutement ?

C’est allé très vite ! J’ai rencontré Apolline, puis on m’a demandé de produire un mini-motion pour tester mes compétences. Je remets cela dans le contexte, nous sommes en 2021, et je me suis formé seul à cette expertise durant le confinement, ce n’est donc pas le sujet sur lequel je me sens le plus à l’aise ! Mais je m’y suis mis à 14h, j’ai fini à 3h du matin… Et quand Apolline m’a rappelé deux jours plus tard pour me dire que j’étais retenu, j’étais très surpris que ça ait fonctionné !

 

Quelle a été ta première impression en arrivant ?

J’avoue avoir marché sur des œufs pendant un petit moment, car je me suis bien rendu compte que j’étais largué sur tout un tas de choses. Sur le motion évidemment, me considérant comme novice, mais aussi sur des éléments de mise en page avec les logiciels que je ne connaissais pas. Apolline m’a montré tellement de choses… Je pense sincèrement que j’ai appris plus de choses en quatre mois ici que ces cinq dernières années d’un point de vue technique !

Rien ne m’a jamais été impossible et j’ai toujours appris beaucoup tout seul, mais je suis conscient qu’il y a un chemin pour arriver à atteindre mes objectifs. Mon but en arrivant, c’était de parvenir à réaliser ce qu’on me demandait et à la faire dans les temps. Mais j’ai toujours su que j’aurai un processus d’apprentissage important. Aujourd’hui, je me sens bien plus à l’aise !

Quelle a été ta première impression en arrivant ?

J’avoue avoir marché sur des œufs pendant un petit moment, car je me suis bien rendu compte que j’étais largué sur tout un tas de choses. Sur le motion évidemment, me considérant comme novice, mais aussi sur des éléments de mise en page avec les logiciels que je ne connaissais pas. Apolline m’a montré tellement de choses… Je pense sincèrement que j’ai appris plus de choses en quatre mois ici que ces cinq dernières années d’un point de vue technique !

Rien ne m’a jamais été impossible et j’ai toujours appris beaucoup tout seul, mais je suis conscient qu’il y a un chemin pour arriver à atteindre mes objectifs. Mon but en arrivant, c’était de parvenir à réaliser ce qu’on me demandait et à la faire dans les temps. Mais j’ai toujours su que j’aurai un processus d’apprentissage important. Aujourd’hui, je me sens bien plus à l’aise !

« Je pense sincèrement que j’ai appris plus de choses en quatre mois ici que ces cinq dernières années d’un point de vue technique ! » 

Faire partie de Bathyscaphe, pour toi c’est quoi ?

C’est une nouvelle aventure, c’est découvrir de nouveaux domaines d’activité, et une nouvelle façon de faire mon travail.

Si tu devais résumer Bathyscaphe en une phrase ?

Pour rester dans la métaphore maritime je dirais que bathyscaphe est un phare, (un refuge) pour ceux qui y travaillent et je l’espère aussi pour ses clients !